
12/06/96 – Presse

Capsul’Rock c’est un projet mené à la MJC Victor Jara de Champs-sur-Marne durant 10 ans autour de l’organisation de concert en pleine période d’effervescence de la scène française et notamment du « rock alternatif ». C’est un cinquantaine de bénévoles autour d’une équipe plus restreinte et dont le seul salarié fut Fabrice « BIS » André, animateur de la MJC (aujourd’hui technicien intermittent).
Un projet démarré en mode « été jeune » en 1986 par le directeur de l’époque Eric Ducretot.
Association de Diffusion et de Valorisation des musiques amplifiées en Dordogne créé en mars 1985
Association SOME PRODUKT – 29, Chemin de Beauchaud – 24750 BOULAZAC
Continuer la lecture de – Some ProduktParis (75) // Juin 1984 – 19?? // Label
Blois (75) // 1984 – 2003? // Label, organisation de concerts et atelier de sérigraphie.
Continuer la lecture de – RipostOrléans (45) // Septembre 1982 – 1987 // Label
Continuer la lecture de – Chaos ProductionsParis (75) // 1982 – 19?? // Label
[ Fondé autour des Brigades sous le nom de Rock Radical Records, c’est avec le départ de Kid Bravo que le label prend le nom de Bondage. ]
Continuer la lecture de – Rock Radical Records / Bondage RecordsParis (75) // 1977 – 198? // Graphisme
Fondé en 77 par REED et SHIELD, H.PRODUCT est un groupe d'intervention artistique: musique, graphisme, performance, expositions, audiovisuel, etc… Influencé par le mouvement PUNK, se forme le groupe METAL RADIANT, et une cellule de poésie punk ("P.PERIODIQUE", le roman "LSD" tous deux épuisés). Fin 78 dissolution de METAL RADIANT et naissance de COIT BERGMAN, très SUICIDE. Performance au festival POETHRA, sortie d'un 3e livre "constat social des années 80", consacré aux perversions modernes. Essaiment entre PARIS et DIJON, Reed et Shield échangent une abondante correspondance qui donne en 1982 leur 4e livre, "ATTITUDES". Shield travaille avec les groupes cold de DIJON, et REED expérimente la B.D., ilIustre et collabore à "NEW WAVE","SIGNAL DE GUERRE", conçoit une exposition itinérante de 25 photos montages accompagnées d'une bande son industrielle,"MECANIQUES BEBES" (actuellement au BLEU NUIT rue des vertus). Début 82 naissance du groupe NORMA LOY (un titre "crazy soul" sur la K7 Compilation "LES ELECTRIQUES". "ATTITUDES" est un tout de 120 pages, comprenant 20 photos noir / blanc, des éléments graphiques très soignés et des textes/flashes de L'instant. Réflexions d'époque sur des concerts, des combats, des idées et des films, c'est une vision de la charnière seventies/eighties. Choc des mots, entrelacs des phrases, nuages d'idées, personnages déchirés, découverts, déroutants. "ATTITUDES" est un choc visuel et mental, un livre qui se LIT, se REGARDE et se PENSE. Le testament d'une EPOQUE TRANSITOIRE.." Bio : New Wave
[ L’association est montée autour de l’emblématique disquaire Dominique Dauta par des jeunes qui frayaient avec l’ACTE mais désireux de se concentrer uniquement sur les concerts de rock. Déjà, en 76, avec son magasin de disque « La Discothèque », Dominique Dauta avait prêté main forte à l’organisation du premier festival Punk de Mont-de-Marsan. L’asso réitérera en 77 ]
Paris (75) // 1974 – 1978 // collectif de graphistes
Bio (Wikipédia) Bazooka se forme en 1974 aux ateliers graphiques des Beaux-arts de Paris autour de Christian Chapiron (Kiki Picasso), Jean-Louis Dupré (Loulou Picasso), Olivia Clavel (Electric Clito), Lulu Larsen, Bernard Vidal (Bananar) et Jean Rouzaud. Y participe plus sporadiquement Ti5 Dur (Philippe Bailly). Après des publications des membres dans Actuel, le premier collectif édité par Bazooka, début 1975, est Bazooka Production, aussitôt suivie de Loukhoum Breton, d'Olivia Clavel, puis des fanzines Bien dégagé autour des oreilles et Activité sexuelle normale. Ils lancent en 1976 Bulletin périodique, revue régulière et plus luxueuse, interdite aux moins de 18 ans. Elle connaît sept numéros. En 1977, Futuropolis leur ouvre les portes de la collections 30/40. Parallèlement à leurs fanzines et revues, le groupe investit entre 1976 et 1978 de nombreuses revues de bande dessinée ou d'humour (Surprise, Charlie Mensuel, L'Écho des savanes, Métal hurlant, Hara-Kiri, etc.), réalise des pochettes de disques pour Elvis Costello, Extraballe, T. G., James Chance ou encore Starshooter et travaille dans la publicité. Leurs travaux participent principalement du collage d'images d'origines diverses (actualité, archive, art, bande dessinée), retravaillées avec diverses techniques (dessin, peinture). Cependant, la technique, poussée à l'extrême (L.L. de Mars, évoque un « collage de collages »1), et ce foisonnement de signes permet la création d'œuvres ambigües laissant au lecteur, au spectateur, toute liberté d'interprétation. Bazooka, pour avoir ainsi poussé à l'extrême le principe de subversion[Mal dit] par le dessin (Chapiron invente le terme de « Dictature graphique »), est associé très rapidement au mouvement punk naissant. Le groupe a également publié des bandes dessinées (Clavel et Rouzaud principalement) et dessins (Loulou Picasso) plus classiques. La provocation se double d'un grand souci esthétique, exigence qui vaut à Rouzaud, accusé de trop de conformisme, d'être exclu du groupe en 1976. Leur célébrité vient cependant de leur collaboration avec Libération. Contactés en 1977 par Serge July pour illustrer le journal, ils appliquent à l'actualité les mêmes méthodes de détournement et de contestation qu'envers l'art dans leurs productions précédentes, selon leur désir d'investir les médias pour « y foutre la merde » (Olivia Clavel). Faisant face aux réticences de plus en plus grande de la majorité de la rédaction du journal, le groupe arrête sa participation directe. Cependant, Libération édite à partir de février 1978 Un Regard moderne2, mensuel d'actualité remarqué dès lors pour sa qualité et son caractère innovant3, ainsi que pour ses provocations, comme lorsqu'ils proposent dans le numéro du 5-6 novembre 1978 un dessin pédopornographique dans la page d'annonce « Taules »4. La lassitude des trois leaders du groupe et les problèmes suscités par leurs provocations conduisent à l'arrêt de l'expérience en août après six numéros. Si les principaux membres du collectif sont alors individuellement assez connus pour continuer à essaimer les revues, le groupe commence à disparaître.
Brest (29) // Label
Label fondé par Gaël Bodilis manager du groupe Brutal Combat.