Descente chez Tonton
Cet après-midi, j’ai déserté la milice des chats pour lancer une descente chez Tonton : interrogatoire en règle sur ses exploits Transistours / Radio Béton / Auberge espagnole / P’tit rouge de Touraine. On couvre 1975–1985 — pas même le temps d’effleurer sa carrière de pirate du disque (son bouquin s’en charge déjà). Je repars les bras chargés de l’intégrale de la revue crypto-communiste de sombre mémoire et, cérémonie improvisée, je lui décerne un badge en carton : « officiellement chargé d’emmerder les copains pour qu’ils ouvrent leurs archives ». De retour, je m’attelle aux premières numérisations, après avoir partagé mes prises de guerre sur le comptoir virtuel de Facebook.




The Tonton
On a passé un aprèm’ à fouiner dans des machins tout poussiéreux pour le plaisir de salir la réputation de quelques honorables citoyens (search and destroy !) La punk attitude à l’âge de l’EHPAD, est-ce bien raisonnable ?

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